SOUNDKITS IDM CONSTRUCTION - DICTAPHONE SAMPLING SOLUTION AND DOCUMENTATIONS













































Sound points is a blog for the development of rythmic structures, the creation of loops and patterns....Some examples will be available soon also downloadHere soundkits packages available,just to click on it.

Points sonores est un blog destiné à l'élaboration de structures rythmiques, à la création de loops et de patterns....Quelques examples seront bientot disponibles également en téléchargement.
Vous trouverez des packages de soundkits à votre disposition, il suffit de clicker dessus.
Ces soundkits peuvent etre bien entendu intégré à divers sampleurs ( harware ) comme par example une MPC (1000,2000,2000xl....),une sp-1200 Emu, une SP-505, une SP-606,KORG,.....Cela dit cela fonctionne très bien aussi par des logiciels comme ABLETON Live, FL studio,....
L'origine des sources sonores que l'on retrouvent dans les packages sont obtenues par enregistrement direct : un micro ou un simple dictaphone peuvent faire l'affaire.Le tout consiste à extraire des sons naturels et les retraités par logiciels.(traitement du son , suppression du souffle, découpage de samples)
Adobe audition et Recycle le font très bien, mais il en existe bien d'autres.

These can be soundkits course integrated with various samplers (harware) as an example MPC (1000,2000,2000 xl,...),an sp-1200 Emu, an SP-505, an SP-606, KORG,....However it works fine as by programs like Ableton live, FL studio,....
The origin of the sound sources that are found in the packages are obtained by direct recording : a microphone or a simple voice recorder can do the trick.Everything is to extract natural sounds and retirees by software.(sound processing, suppression of the breath, cutting samples)
Adobe audition and Recycle do it very well, but there are many othres.





choose your package :

Vous trouverez des packages tout le long du blog,il suffit de dérouler la page/You will find packages throughout the blog, just scroll down)
Le sampling est une pratique musicale qui consiste à utiliser des extraits musicaux (des samples) afin de créer à partir d'eux une oeuvre originale. C'est la pratique du sampling qui a donné naissance à celle du digging (dont les amateurs sont appelés diggers). Le terme "digging" est originellement un raccourci de celui de "crate digging". "To dig in the crates" (littéralement "creuser dans les cratères"), est une allusion aux caisses dans lesquelles les disquaires entreposent les disques vinyles (ce qu'on appelle chez nous les bacs). Les crate-diggers sont donc des fouilleurs de bacs à disques, CDs ou cassettes. Au départ, il s'agissait avant tout de DJs à la recherche de la perle rare, notamment dans le but de trouver un morceau duquel extraire un sample (c'est-à-dire un bout de morceau qu'on réutilise pour former une nouvelle mélodie). Puis, un certain nombre de personnes se sont mis à "digger" afin de trouver les morceaux dont étaient tirés les samples utilisés par les DJs (vous me suivez ?). Avec le développement d'internet, et la numérisation grandissante de la musique, il est devenu de moins en moins utile de fouiller directement parmi de poussiéreuses piles de vinyles, mais le terme de digger est resté. Un grand nombre de diggers n'ont donc plus de poussière sur les doigts (les fameux dusty fingers), se contentant de fouiller dans les méandres de la toile.
Dictaphone est une marque déposée par Columbia Graphophone Company en 1907 pour un appareil enregistreur de dictée. La marque est aujourd'hui propriété de la compagnie américaine Nuance Communications1.La marque est devenue, par antonomase, un synonyme d'« appareil de dictée ».
ECHANTILLONNAGE

Technologie consistant à prélever des échantillons en technique
numérique.
C'est à partir des échantillons stockés dans la mémoire d'un synthétiseur ou
d'un ordinateur, que sont "extrapolés" par calcul, les différents sons… ceux-ci
étant pilotés par un clavier de commande. Pour obtenir un son échantillonné
donnant l'illusion d'un son continu, la vitesse de la fréquence
d'échantillonnage doit être très élevée (plusieurs milliers de kiloHertz sont
nécessaires). Pour être fidèle à son original, le son doit être échantillonné au
double de sa fréquence. Donc, théoriquement, tout échantillonnage doit
s'effectuer à 40 kHz, puisque notre oreille est capable de percevoir des
fréquences acoustiques de 20Hz à 20kHz.
Pour arriver à cette qualité sonore, notre bon vieux Compact-Disc est
enregistré avec une fréquence d'échantillonnage de 44,1 kHz, mais pour les jeux
multimédias, la radio numérique ou le téléphone, des vitesses d'échantillonnage
inférieures sont utilisées, allant de 22 kHz à 8 kHz. Si un échantillonnage
d'une fréquence inférieure a l'avantage d'être moins "gourmand" en capacité de
stockage, en retour, la qualité sonore obtenue est très moyenne. La fréquence
d'échantillonnage détermine donc la qualité de la bande passante.
La qualité sonore d'un échantillon ne se résume pas uniquement à un choix de
fréquence, en plus de celui-ci intervient la "résolution" qui modifie la
dynamique de l'enregistrement. Elle détermine le nombre de valeurs choisies
(exprimée en bits) et donne en conséquence la mesure qualitative d'un
échantillon. Outre la dynamique, l'augmentation du nombre de bits améliore la
finesse du son, puisque le plus souvent celle-ci va de pair avec la fréquence
d'échantillonnage. Par exemple, les premiers claviers échantillonneurs
travaillaient en 8 bits, soit 256 valeurs par échantillon, pour une qualité
sonore allant jusqu'à 12 kHz en moyenne.
Ceux d'aujourd'hui ont une qualité sonore pouvant dépasser celui du
Compact-Disc et ses 16 bits (aujourd'hui la norme standard) et qui autorise 65
000 valeurs. Chaque bit supplémentaire améliore le système de 6 dB, ce qui
explique en partie la dynamique des enregistrements actuels (96 dB de
Rapport/Signal Bruit). La norme des DVD audio a hissé le palier à 24 bits, une
norme qui deviendra celle de demain.

BOUCLAGE (OU LOOPING)

A la différence d'un synthétiseur pourvu d'oscillateurs générant un son,
l'échantillonneur rejoue uniquement l'enregistrement d'un son. Pour éviter une
utilisation de mémoire trop importante, une partie infime de l'échantillon
(avant décroissance du son) est utilisée pour prolonger sa durée de façon
artificielle. La partie sélectionnée est mise en boucle, avec un point de départ
(start point) et un point de fin de boucle (end point). Quand la boucle est
réussie, on ne doit pas entendre le "point" de bouclage (effet de son tournant
ou "d'accroche" sonore) … c'est là, le point important à écouter quand on laisse
appuyé le doigt sur la touche.

TIME STRETCHING

Le Time Stretching est une technique qui permet de modifier la durée d'un
échantillon sans en changer sa hauteur. Le time stretching est très utile pour
adapter une boucle enregistrée à un tempo défini. Par exemple, si vous avez
trouvé une boucle rythmique qui vous convient, mais que son tempo ne s'accorde
pas à celui des autres instruments, le time stretching vous permettra d'y
remédier en changeant son tempo de base, donc sa durée, sans toucher à la
hauteur d'origine.

PITCH SHIFT

C'est un peu l'inverse du time stretching, puisqu'il modifie la hauteur
d'origine de l'échantillon mais sans affecter sa durée. Cette fonction est utile
si on veut qu'une phrase musicale s'accorde à la tonalité d'un morceau, mais
sans en changer son tempo.

RE-SAMPLING

Opération technique qui permet d'échantillonner directement en interne le
résultat obtenu dans la machine après de multiples traitements sonores.

LE SAMPLE ET LE DROIT

L'idée d'utiliser des morceaux préexistant ne va pas sans problèmes. Dès les
premières boites à rythmes équipées d'une section échantillonnage,
l'exploitation commerciale du cri de James Brown n'a pas été sans remous
médiatique (en mémoire ROM dans une boite à rythme Yamaha). De même, l'utilisation
des lignes de basse de Stevie Wonder a fait couler beaucoup d'encre. Par la
suite, la juridiction est allée entre procès d'intention et procès arbitraire. A
ses débuts, la musique rap qui empruntait les musiques préexistantes, notamment
provenant de la "black music" n'a pas été à l'abri d'une certaine discrimination
pas toujours justifiées.
En effet, la question se pose entre le désir d'une véritable création sonore
et celle d'un emprunt libre, dénoué de scrupule et qui repose sur une certaine
facilité créatrice. L'apanage de la musique rap et dans une moindre mesure celle
de la techno se situent d'avantage dans une manifestation contestataire ou de
provocation sociale que dans une démarche d'emprunt musical, même si celle-ci
est volontaire. L'échantillonnage est considéré avant-tout par de nombreux
musiciens comme un moyen d'expression artistique créatif, au même titre que le
"collage" l'est en art décoratif.
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